Aujourd'hui, l'ouverture de ce village qui n'en est plus un s'explique par son histoire. L'époque de la grande maladie des Romantiques, que l'on n'aimait pas nommer tuberculose, a permis la création de la station du Feydey. C'est ainsi que de Grand Hôtel et pension en clinique et de riche aristocrate russe en soldat français tuberculeux, la première épopée de Leysin s'étire sur plus de soixante ans.

Puis vint le jour où l'on crut la terrible maladie enfin vaincue. Abandonnée par beaucoup de ceux qui l'avaient jusque-là habitée, la station dut à son tour se chercher un nouveau souffle. Il fallait trouver une voie nouvelle dans un monde économiquement et socialement changé. Et surtout, il fallait désormais oublier. On brûla beaucoup. On voulut effacer le soleil. On voulut même changer le nom de Leysin... La foi et l'énergie déployée par un petit groupe d'hommes sont à l'origine de sa rapide reconversion. Celle-ci reste un fait à la fois audacieux et unique. Jamais station n'a dû changer aussi radicalement d'activité. Les personnes qui ont vécu cette période gardent le souvenir d'un vent de folie soufflant des Tours d'Aï aux Dents-du-Midi.

Cette incroyable épopée est éclairée par les témoignages de nombreuses personnes qui l'ont vécue en direct. En quelques mois, les cliniques devinrent des hôtels, Leysin revivait et retrouvait la santé.

Prix de vente: CHF 40.-

Aujourd'hui, l'ouverture de ce village qui n'en est plus un s'explique par son histoire. L'époque de la grande maladie des Romantiques, que l'on n'aimait pas nommer tuberculose, a permis la création de la station du Feydey. C'est ainsi que de Grand Hôtel et pension en clinique et de riche aristocrate russe en soldat français tuberculeux, la première épopée de Leysin s'étire sur plus de soixante ans.

Puis vint le jour où l'on crut la terrible maladie enfin vaincue. Abandonnée par beaucoup de ceux qui l'avaient jusque-là habitée, la station dut à son tour se chercher un nouveau souffle. Il fallait trouver une voie nouvelle dans un monde économiquement et socialement changé. Et surtout, il fallait désormais oublier. On brûla beaucoup. On voulut effacer le soleil. On voulut même changer le nom de Leysin... La foi et l'énergie déployée par un petit groupe d'hommes sont à l'origine de sa rapide reconversion. Celle-ci reste un fait à la fois audacieux et unique. Jamais station n'a dû changer aussi radicalement d'activité. Les personnes qui ont vécu cette période gardent le souvenir d'un vent de folie soufflant des Tours d'Aï aux Dents-du-Midi.

Cette incroyable épopée est éclairée par les témoignages de nombreuses personnes qui l'ont vécue en direct. En quelques mois, les cliniques devinrent des hôtels, Leysin revivait et retrouvait la santé.

Prix de vente: CHF 40.-

Sollicité par quelques proches, M. André fit part de ses différentes expériences en publiant "Les Cahiers de Leysin" (six numéros parus entre septembre 1988 et janvier 1999). Devant l'intérêt manifesté, la nécessité de publier un livre s'imposait.

Prix de vente: CHF 40.-

Le village, qui compte alors moins de 400 habitants, va connaître un essor extraordinaire avec la construction de plus de 70 cliniques et sanatoriums. A son apogée, dans les années 1930, près de 6000 personnes vivent à Leysin, dont 3000 patients, 300 infirmières et 50 médecins. Le petit village des Alpes Vaudoises devient alors une véritable petite ville internationale (...)

Le DVD rassemble plus de 300 documents historiques, commentés et animés, retraçant les moments forts d'une histoire étonnante.

A travers ces témoignages audio ponctués de sons et de thèmes musicaux, vous découvrirez les multiples facettes de leur vie, ainsi que les chapitres hauts en couleurs de l'histoire locale souvent mêlée aux évènements internationaux.

• Les Soeurs Diaconesses, Hanna et Gertrud, responsables de la Clinique La Riondaz
• Frédéric Sieveking, pasteur proche de la communauté des malades, alpiniste
• Eliane Vogt-Dupertuis, secrétaire aux milles souvenirs heureux de Leysin
• Marcel Knebel, commerçant primeur, président de la fanfare La Rose des Alpes
• Rémy Besse, commerçant, distributeur d'eaux minérales, président de l'ACAL
• Ernst Blatter, employé à la Manufacture, artiste-peintre, rêveur solitaire
• Arthur Mermod, peintre en bâtiment, entrepreneur consciencieux
• Max Tauxe, agriculteur de montagne, moniteur de ski, bon-vivant

Dans ce premier volume d'une série à venir, l'Association pour le Patrimoine de Leysin (APL) a le plaisir de vous présenter huit habitants nés entre 1914 et 1932, ayant un lien particulier avec Leysin.